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  • François Audet

     

    François Audet est directeur l’Observatoire canadien sur les crises et l’aide humanitaire au CERIUM de l’Université de Montréal. Il est actuellement Visiting Scholar au Humanitarian Policy and Conflict Research (HPCR) de l’Université Harvard

     

    François Audet 

    Article à lire  impérativement :

    L’acteur humanitaire en crise existentielle 

    Les défis du nouvel espace humanitaire

    Résumé

    Cet article examine l’évolution du terrain d’action de l’humanitaire au cours des dernières décennies. L’analyse de cet espace conduit à réfléchir à l’avenir de l’acteur humanitaire dans le nouveau contexte international. En effet, la réticence de celui-ci à travailler dans un environnement non sécurisé le force à reconsidérer les principes qui ont édifié le mouvement humanitaire. La dilution de la rhétorique humanitariste et la politisation de son espace d’action sont les principaux défis qui se posent à lui. Ce contexte contraint l’acteur humanitaire à revoir son rôle et à remettre en question sa présence en zone de conflit.

    disponible sur :

    Érudit - Promouvoir et diffuser la recherche

    Publications :

     

    Audet, François. Du Tsunami de 2004 au tremblement de terre d’Haïti de 2010 : vers un humanitaire durable ? Dans Conoir, Y. et Verna, G. (Eds) « Nouveaux Courants de l’Assistance Humanitaire ». Presse de l’Université Laval. 2010. (Sous presse).

     

    Audet, F., Desrosiers, M.E. et Roussel, S. (Dir). L’Aide Canadienne au Développement : Bilan et perspective. Éditions des Presses de l’Université de Montréal (PUM). 2008. 352p.

     

    Audet, F. et Desrosiers, M.E. Introduction à l’aide canadienne au développement. Dans Audet, F., Desrosiers, M.E. et Roussel, S. (Dir). « L’Aide Canadienne au Développement : Bilan et perspective ». Éditions des Presses de l’Université de Montréal (PUM). 2008. 352p.

     

    Audet, Francois et Judy Meltzer. L’aide canadienne en Amérique Latine : Une coopération paradoxale. Dans : Audet, F., Desrosiers, M.E. et Roussel, S. (Dir). « L’Aide Canadienne au Développement : Bilan et perspective ». Éditions des Presses de l’Université de Montréal (PUM). 2008. 352p.

     

    Audet, Francois. Gestion de crise. Dans Macleod, A., Dufault, E., Dufour, F., et Morin, D. « Relations internationales : théories et concepts », Athéna Éditions. 2008.

     

    Audet, Francois. Guerilla. Dans Macleod, A., Dufault, E., Dufour, F., et Morin, D. « Relations internationales : théories et concepts », Athéna Éditions. 2008.

     

    Audet, F. Crise humanitaire en Afghanistan et insécurité humaine. Consortium canadien sur la sécurité humain. 7p. 2007.

     

    Audet, F., et Montpetit, A. Processus de DDR (démobilisation, démilitarisation et réintégration) des paramilitaires en Colombie : visibilité ou volonté politique ? Dans Conoir, Y. et Verna, G. « DDR désarmer, démobiliser et réintégrer. Défis humains - Enjeux globaux ». Presse de l’Université Laval. 2006.

     

    Audet, F. Le conflit colombien : de l’idéologie au narcotrafic. Observatoire des Amériques. Centre d’études internationales et mondialisation. (CEIM) UQAM. 11p. 2005.

     

    Audet, F et McAlliser, K. La politique étrangère canadienne en Colombie : Quand institution rime avec consolidation de la paix. Dans Conoir, Y. et Verna, G. « Faire la paix ». Presse de l’Université Laval. 2005.

     

    Audet, F. Haïti : L’impasse politique d’Aristide. Observatoire des Amériques. Centre d’études internationales et mondialisation (CEIM). UQAM. 2004.

     

    Audet, F. Le Guatemala : une paix qui n’en est pas une. Observatoire des Amériques. Centre d’études internationales et mondialisation (CEIM). UQAM. 2003.

     

    Audet, F. Colombie : Des intérêts divergents pour une guerre sans fin. Observatoire des Amériques. Centre d’études internationales et mondialisation (CEIM). UQAM. 2003.

     

    Audet, F. Les politiques de reconstruction et d’aide humanitaire fondées sur l’action communautaire. Études de cas : Honduras et Vietnam. Dans Conoir, Y. et Verna, G. « L’Action humanitaire du Canada ». Presse de l’Université Laval. 2001.

     

    Audet, F. Évaluation environnementale des projets d’assistance humanitaire et d’urgence aux familles sinistrées de l’ouragan Mitch, Honduras et Guatemala. Pour l’Agence canadienne de développement international, ACDI/CIDA. 1999.

     

    Vidéo en ligne :

    Une aide humanitaire qui a trouvé la foi ? / Les ambitions mondiales de la Chine / Pourquoi la révolte syrienne est orpheline

    François Audet (OCCAH/UdeM) - Mamoudou Gazibo (ScPo/UdeM) - Roromme Chantal (ScPo/UdeM) - Pierre Razoux (Collège Défense à Rome)

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  • Quelques infos sélectionnées et postées pour vous...

     

     

    Vidéos par la fondation EDUKI

    La Fondation Eduki, alias Centre pour l’Education et la Sensibilisation à la Coopération Internationale, constituée en 2011, a pour but de :

    Promouvoir l’éducation et la sensibilisation des jeunes au travail des organisations internationales et à la coopération internationale.



    Nos activités consistent notamment à :

    • Développer des dossiers thématiques et des outils pédagogiques sur la coopération internationale et ses différents domaines d’activité.
    • Organiser des visites et des activités de découverte des organisations internationales et des autres acteurs de la coopération internationale.
    • Expliquer et faire découvrir le travail des délégués participants aux conférences internationales.
    • Développer des outils et des supports de communication, notamment via Internet.
    • Soutenir des activités développées par ou pour les jeunes en lien avec les organisations internationales ou avec la coopération internationale.
    • Développer, soutenir et/ou assurer le suivi de projets qui s'inscrivent dans ses buts.



    Public cible

    • les élèves de l’enseignement secondaire ou de niveau équivalent (env. de 12 à 19 ans).
    • les enseignants du secondaire ou de niveau équivalent.



    Le travail de la Fondation répond à une nécessité

    Dans un monde interdépendant, la coopération internationale remplit un rôle croissant qui façonne notre quotidien et notre avenir. La Fondation Eduki entend lever le voile sur cet univers en permettant aux jeunes de découvrir les organisations internationales, leurs domaines d’activité et les métiers qui y sont rattachés. La Fondation est située à Genève, au cœur d’un des plus grands centres de la coopération internationale, avec une cinquantaine d’organisations internationales, près de 200 missions diplomatiques, plus de 300 ONG et près de 200'000 délégués de passage par année.


    Nous permettons aux jeunes de :

    • Se familiariser avec le travail des organisations internationales, leur utilité et leur impact sur le monde.
    • Aborder les thématiques liées à la coopération internationale, telles que le développement durable, la protection de l’environnement, les droits de l’Homme, l’aide humanitaire, la santé, le développement économique les télécommunications ou encore la recherche scientifique.
    • Découvrir la diversité des problématiques et des acteurs de la coopération internationale.
    • Connaître la diversité des métiers de la coopération internationale.
    • Contribuer à l’éducation à la citoyenneté en donnant aux élèves les outils de réflexion sur le monde qui les entoure.
    • Développer leur créativité et talents artistiques tout en réfléchissant à la coopération internationale.



    Historique – un projet initié par Mandat International

    C’est en 2006 que la Fondation Mandat International a proposé au Département de l’Instruction Publique du Canton de Genève un projet test pour faire découvrir les organisations qui composent la Genève internationale aux élèves et aux enseignants du secondaire. Suite aux bons résultats de la première année test, le projet a été reconduit d’année en année avec le soutien du DIP, de la Ville de Genève, puis depuis 2009, de l’Ecole Internationale de Genève.

    C’est aussi grâce au soutien ponctuel de la Fondation pour Genève et de la Loterie romande que le projet a pu voir le jour.

    En 2011, Mandat International a jugé pertinent de permettre au programme de se développer pleinement en le transférant à une nouvelle fondation ad hoc qui se consacrera exclusivement aux questions d’éducation et de sensibilisation des jeunes à la coopération internationale : la Fondation Eduki, alias Centre pour l’Education et la Sensibilisation à la Coopération Internationale.

    La Fondation Eduki bénéficie du soutien du Département de l’Instruction Publique, de la culture et du sport du Canton de Genève, de la Ville de Genève et de l’Ecole Internationale de Genève. Voir aussi les remerciements.


    Equipe

    L’équipe de la Fondation Eduki est actuellement composée de quatre personnes. Le directeur du programme, une chargée de projet et deux stagiaires.


    Stages

    L'équipe est actuellement au complet. Vous trouverez ici les annonces de poste à pourvoir.

    Si vous répondez aux critères ci-dessous vous pouvez nous envoyer une candidature spontannée pour un stage.


    Votre profil :

    • Vous avez un bachelor/master en relations internationales, science politique, lettres, sciences de l’éducation ou communication.
    • Vous avez un vif intérêt pour le travail des organisations internationales et non gouvernementales.
    • Un très bon niveau de français écrit et oral.
    • Un bon niveau d’anglais.
    • Si possible, une connaissance du système scolaire suisse.


    Nos conditions :

    • Les stages sont non rémunérés.
    • Le stage se déroule sur une période de 3 mois à 100% ou 6 mois à 50%.


    Le travail consiste notamment à :

    • Rédaction : écriture de dossiers/fiches sur les thématiques de la coopération internationale.
    • Organisation de visites/conférences pour les classes dans les organisations internationales.
    • Interviews : réalisation d’interviews filmés/écrits sur les métiers de la coopération internationale.

     

     

     


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    Benoît Silve, bio sur le site de BIOFORCE :

    Benoît Silve est depuis 2003 directeur général de l’Institut Bioforce qui met en œuvre des stratégies innovantes et collaboratives pour renforcer la pertinence et la performance des actions humanitaires et des systèmes de santé publique dans les pays à faibles revenus, et l’information et l’accompagnement du public sur le sens de l’engagement dans les actions de solidarité. L’Institut a également créé des modèles innovants d’action dans les quartiers sensibles de l’agglomération lyonnaise, et concrétisé des modes de convergence entre solidarité et entreprises.
    Avec un budget de près de 5 M€, plus de 300 étudiants diplômés chaque années, plus de 1.000 bénéficiaires par an de programmes d’apprentissage courts, Bioforce est présent en France, avec un siège de 3000 m² situé à Vénissieux près de Lyon, en Afrique occidentale où il dispose d’un bureau permanent au Burkina Faso, ainsi que dans de nombre pays au fil de ses programmes de formation et de ses partenariats.
    Benoît Silve est membre du conseil d’administration de l’initiative "People That Deliver" qui réunit les plus grandes organisations mondiales en faveur de la professionnalisation des gestionnaires de la chaîne d’approvisionnement des produits de santé, et du comité de pilotage d’ELHRA, un réseau collaboratif international dédié à soutenir les partenariats entre les établissements d’enseignement supérieur et les organisations humanitaires.
    Né en 1958, marié avec Isabelle et père de 4 enfants de 30 à 9 ans (Arthur, Laure, Claire et Margot), Benoît Silve a conduit la première partie de sa carrière dans la marine nationale. Capitaine de Vaisseau (R), il a été commandant adjoint du porte-avions "Foch" et commandant de la frégate furtive "Aconit". Il est ingénieur et titulaire d’un Master en relations internationales (USA).

    D'après le magazine :Expressions - Les nouvelles de Venissieux

    Benoît Silve, le capitaine du Bioforce

    “Le sillon commencé par Charles Mérieux continue d’être tracé”, dit de lui Claude Lardy, la présidente d’honneur de Bioforce. De fait, le travail de Benoît Silve, directeur général, s’inscrit dans la continuité de ce qu’avait initié le fondateur de l’organisation non gouvernementale qui est installée à Vénissieux depuis 1983. Dans la continuité, mais pas seulement. 
    “Je suis arrivé à Bioforce en septembre 2003, raconte Benoît Silve de sa voix posée. J’avais appris en juin qu’ils recrutaient un nouveau directeur général. J’ai donc eu l’été pour me préparer, me mettre à jour, en travaillant ma prise de fonction avec Claude Lardy. Cela m’a permis d’appréhender les enjeux de l’association.”
    Au regard de son parcours, intégrer la direction de Bioforce ne semblait pourtant pas une évidence. Benoît Silve est en effet, à l’origine… marin. Et pas pendant trois mois, pendant un job d’été, à hisser la grand-voile et souquer les artémuses (1). Non, il a passé 25 ans dans la marine nationale ! “Avec ce parcours, j’aurais facilement pu travailler dans l’industrie aéronautique. Mais je voulais un vrai changement, construire quelque chose de différent, en adéquation avec les valeurs qui sont les miennes. De plus, j’avais envie de poser le sac à terre. De donner une stabilité à ma famille.”
    Mais revenons quelques instants sur ce passé militaire (“Non, marin”, oui pardon marin parce-qu’il-ne-faut-pas-confondre-désolé). Le jeune Benoît, passionné par “tout ce qui vole”, se rêve pilote. Attiré par la mer et n’oubliant pas que dans l’eau flottent des porte-avions, il intègre la marine nationale. Pour un quart de siècle, donc. Occupant successivement les grades de capitaine de vaisseau. De commandant adjoint du porte-avions Foch. De commandant de la frégate furtive Aconit, avec 170 personnes sous ses ordres (soit trois instituts Bioforce, à la louche). “Cette partie de ma vie m’a marqué, bien sûr. On y rencontre des contraintes bien au-delà de celles que l’on connaît dans la vie civile. Cela renforce votre niveau d’exigence. Lorsque les éléments se déchaînent, vous relativisez. Vous apprenez à travailler en équipe. Cela permet de mieux se connaître, et de connaître les autres. J’ai vécu des choses formidables, d’autres terribles. J’ai vu le Tchad, la Bosnie, le Kosovo, l’Afghanistan. J’ai vu de mes propres yeux les enjeux qui se présentent lorsque, dans une société, les choses dérapent et que le pouvoir revient au plus fort ou au plus méchant. J’ai fait le tour du monde, je pense qu’il y a très peu de pays que je n’ai pas connus. On en revient transformé.”
    Avoir intégré l’Institut Bioforce constitue le second moment marquant de la carrière professionnelle de ce natif de Paris. Si, après bientôt neuf ans de présence sur le plateau des Minguettes, l’heure n’est pas encore au bilan (l’intéressé n’a que 54 ans), il a “en tête plusieurs événements de nature à changer un homme”. Lesquels ? Son visage se ferme. “Les assassinats d’Agnès et de Damien, bien entendu (2). Une tragédie. Ce genre d’événement amène une réflexion sur ce que doit être l’Institut Bioforce. C’est l’engagement personnel qui donne du sens à l’engagement humanitaire. Nous devons fournir aux jeunes une formation responsable quant aux risques qu’ils peuvent rencontrer. J’ai beaucoup de respect pour eux, qui parcourent le monde en connaissance des risques. Ce qui compte le plus, au-delà de ce que l’on fait, c’est avec qui on le fait. Les formations sont importantes, mais moins que ceux qui les suivent.”
    “Nous avons par ailleurs, ces dernières années, renforcé et développé notre engagement local. Je me souviens de ma première rencontre avec André Gerin, alors maire de Vénissieux. Nous avions abordé ce sujet. Avant, l’Institut était très tourné vers l’international. Aujourd’hui, nous avons acquis de l’estime et de la crédibilité dans notre propre environnement. On a enraciné Bioforce dans son tissu local. Je suis heureux du chemin parcouru.”
    L’aventure se poursuivra-t-elle encore longtemps ? “Mon avenir ne dépend pas que de moi. Il faut que le conseil d’administration de Bioforce me renouvelle sa confiance. Je veux également ressentir l’adhésion de l’équipe dans le projet que je porte. Je ne souhaite pas me satisfaire d’un confort fragile.”
    Un “confort” dont ne se satisfait pas plus Benoît Silve dans sa vie privée. “Je me repose lorsque je suis malade, mais cela reste très rare. J’essaie de consacrer un maximum de temps à ma famille. Et je me réserve aussi des loisirs : je suis passionné par la nature. Je pratique de nombreuses activités en montagne, je navigue toujours et je pilote à l’aérodrome de Corbas. Je suis un homme de défis, je ne suis pas du tout mondain. Attention, ce n’est aucunement un jugement de valeur : chacun trouve l’univers dans lequel il se sent le plus à l’aise.”
    “Beaucoup de gens vous diront que les rêves d’enfants sont faits pour ne pas être réalisés. Moi, non. Lorsque je regarde mon parcours, j’ai le sentiment d’avoir assouvi ces rêves. Je pense avoir trouvé un bon équilibre entre ce que je pouvais et ce que je voulais réaliser. C’est ce que je souhaite transmettre à nos jeunes. Bon, d’un point de vue personnel, il m’en reste peut-être un : j’aimerais pouvoir m’offrir mon propre avion…”
    Et d’achever l’entretien sur une promesse : celle, par modestie, de ne pas afficher cette page d’Expressions dans les locaux de Bioforce. Et si quelqu’un le fait à sa place ? “Je vais donner des consignes.” Nous vérifierons. Oh, et puis non.

    (1) Les fans d’Astérix comprendront. Sinon ne cherchez pas, “ça ne veut rien dire”.

    (2) En mission humanitaire au Burundi, Agnès Dury (ACF), 31 ans, a été assassinée en décembre 2007. Un mois plus tard, Damien Lehalle (MSF), 27 ans, était victime de l’explosion d’une bombe en Somalie. Tous deux avaient été formés à Bioforce.

     En images et sons :

     


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     Pradier Vincent

    Coordonnées :
     

    vincpradier@gmail.com, 06 02 15 16 44


    https://encrypted-tbn2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTZZvhh-vv-St5rwqeLzZsALiN0ep2om5L_ksdc1SWZjuGDfeJlaw

    Formation :

    - Licencié de Sociologie Université Aix-Marseille 1 et Université Montpellier 3.

    - Etudiant en Master 2 Etudes du développement, spécialité Crises : interventions d'urgence et actions de développement. Institut d'Etudes du Développement Economique et Social / Paris 1

     

    Présentation et aspirations :

    Avec une formation initiale en sociologie, et une expérience significative dans l'éducation populaire par le biais de l'animation, j'ai décidé, après une année de césure à l'étranger d'orienter mon parcours universitaire dans le champ du développement.

    Ainsi, aujourd'hui étudiant en M2 Etudes du Développement à l'IEDES (Institut d'Etudes du Développement Economique et Social), je me spécialise dans l'analyse pluridisciplinaire et multisectorielle, propre à l'institut, des thématiques de crises et de conflits que rencontrent de nombreux pays en voie de développement. 

    Par ailleurs, je poursuis mon engagement militant au sein d'associations étudiantes telles que l'Association Etudes et Développement ou encore le réseau Etudiants et Développement, dont je suis vice-président. Au-delà de mon investissement dans les activités propres à chaque association, mon implication tend aussi à donner une plus grande visibilité et reconnaissance à nos formations universitaires propres au développement, notamment par la création d'un Réseau des Masters Humanitaires et de Développement (ReMHeD).

    Mon objectif professionnel :

    Intégrer si possible des organismes associatifs ou étatiques produisant de l'analyse de crises et de conflits à destination des grands acteurs du développement, et pourquoi pas à terme, poursuivre ma formation par un doctorat.

     


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